L'histoire sans titre..

Comme dit le titre du sujet, l'histoire n'a pas encore de titre, je viens de faire le 1er chapitre et je suis en train de faire le 2e, qu'en pensez vous?



La nuit recouvrait la ville, c'est incroyable qu'en si peu de temps les rues changent autant. Les groupes de jeunes se rejoignaient chacun dans leurs coins à eux, parlaient, fumaient, buvaient, rigolaient, tous avaient l'air dangereux. L'un avec un couteau à la main ou l'autre avec une cicatrice sur le front, je n'avais aucune envie de les rejoindre.
Le froid envahissait les rues, moi, je n'avais qu'un T-Shirt et je commençais sérieusement à geler. Aufaite, moi... Moi, j'ai 15 ans, j'habite à Montpellier, une petite ville du Sud, je venais de fuir de chez moi... Mes parents m'énervaient, j'étais sans cesse critiquait et là, ils auraient raison de me critiquer, je suis partis sans rien à me
mettre sous la dent, rien à me mettre sur le dos et... je voulais
rentrer chez moi.
Chez moi, c'est une maison modeste bien loin du centre ville où j'étais actuellement, c'était la première fois que je me retrouvais seul, la nuit, dans un endroit pareil; la peur m'envahissait...
J'ai finalement décider de demander de l'aide à un des groupes de jeunes, mais lequel? Le moins dangereux évidemment. Mais tous faisaient plus peur l'un que l'autre, j'ai finalement décidé de rejoindre le groupe le plus proche de moi.
En marchant vers eux, j'avais de plus en plus froid, mon coeur battait. Je me suis retrouvé devant eux, la bouche ouverte, sans qu'il y est un seul mot qui n'en
sortait... et finalement un des jeunes a sortis un couteau de sa poche, ça m'a tout de suite réveillé:
- Euh, vous auriez quelques chose à bouffer pour moi?
- Une balle?
C'était la voix d'un mec assis que je n'avais pas encore vu, c'était le plus classe, veste en cuir, jean, mais son flingue était encore plus classe, par contre: ils faisait
peur. J'ai commencé à me barrer en courant quand ils ont commençaient à se foutre de ma gueule, je suis tombé et me suis évanouis.
Quand je me suis réveillé j'avais la bouche ouverte, je regardais vers le plafond... Un plafond? Je n'étais donc plus dans la rue comme un mendiant, cette fois j'étais dans une chambre, cette chambre était très salle. Le mur était couvert de sang. Je me suis tout d'un coup demandé: Était-ce mon sang? C'était la question que je me
posais quand je me suis rendu compte que ma tête saignait.
Je suis resté couché, sur un lit, à me demander ce que je faisais ici au lieu de
dormir tranquillement dans ma chambre.
Je me suis finalement décidé à me lever et à sortir d'ici le plus vite possible, j'essaya d'ouvrir la porte, elle était fermée à clé: j'étais dans une sacrée merde. Par panique je me suis dirigé vers la fenêtre, je l'ai ouverte et je me suis rendu compte que j'étais seulement au rez-de-chaussée, j'ai commencé à traverser la fenêtre pour sortir quand la poignée de la porte a bougé, le bruit d'un trousseau de clé surgit, j'avais peur, extrêmement peur, je me suis dépêché de sortir de cette chambre. J'y suis arrivé. Tout ça pour me retrouver à la case départ: dans la rue.
Je me suis rendu compte que la porte de la chambre dont je viens de sortir venait de
s'ouvrir, à ce moment là, j'ai couru plus vite que je ne l'ai jamais fait, en faisant bien attention de ne pas tomber.
Finalement, au boutde 200 mètres, je me suis dis que je n'avais plus de soucis à me faire,donc je me suis arrêté de courir et je me suis mis à marcher
tranquillement, vers je ne sais où.

J'aime beaucoup ce premier chapitre, le seul truc que me dérange c'est le vocubulaire familer,
Mais c'est surement la façon d'écriture

C'était fait exprès, je comprend que ça te plaise pas aussi ^^'

Tu ne comprend pas tout?