Les particuliers

Alors, voila mon histoire! Je vais y aller chapitres par chapitres, mais mes chapitres ne sont pas aussi longs que ceux de Fluffy! Je trouve que beaucoup d'un coup, ça fait... peur -_-' alors je vais y aller tout doucement!
Bonne lecture! =}

Chapitre 1

« Depuis quelques jours déjà, je me sens épiée. Où que j’aille, je suis certaine que quelqu’un m’espionne. Mais qui ? »

Jusqu'à ce jour, elle menait la vie d’une fillette de 14 ans tout à fait banale. Elle avait de bonnes notes à l’école et entretenait de merveilleuses relations avec ses amis. Aucun problème familial, non plus. (Pour une fois, dans cette histoire, la famille de notre héroïne est on ne peut plus normale.) L’héroïne en question s’appelle Noémie, et elle vit en France. (Et non, cette histoire n’est pas un manga.)
Ses parents, ainsi que son grand frère Thomas, s’occupent très bien d’elle et de sa sœur cadette, Manon.
Noémie a ses petites habitudes : chaque soir, et cela depuis 2 ans, elle va déposer une lettre sur la tombe de son grand-père. Dans cette lettre, elle y raconte sa journée. Elle l’a commence comme pour un journal intime, mais au lieu d’écrire : « cher journal » ; elle écrit : « cher grand-père ». Elle est persuadée que, d’une manière ou d’une autre, son grand-père peut la lire. En effet, à chaque fois qu’elle revient sur la tombe, le lendemain soir, la lettre de la veille n’y est plus, et cela malgré l’énorme pierre qu’elle y dépose par dessus.
Noémie tenait beaucoup à son grand-père. A sa mort, peut-être était-elle la plus peinée de sa disparition. Il lui apprenait des choses, toutes les plus utiles les unes que les autres. Grâce à lui, par exemple, elle s’accrocha toujours à ses rêves, ses rêves aussi fugaces qu’éphémères. Il lui disait toujours que « si l’on croit en ses rêves plus qu’en n’importe quoi, alors ils se réalisent. Seuls ceux qui, dès le départ, disent que leur rêve est impossible, ne pourront le voir se réaliser. » Noémie avait toujours cru en ses rêves. Tout lui réussissait, elle était heureuse. Tellement heureuse, qu’il y avait un hic dans ce bonheur parfait…

Quelqu’un m’observe encore… pensa t-elle. J’en ai marre ! Ca fait une semaine déjà !
Elle ouvrit ses rideaux, agacée de savoir qu’elle ne trouverait rien. Elle se mit à son bureau, et commença à rédiger sa lettre habituelle, en y précisant qu’elle se sentait observée jour et nuit ; espérant recevoir une réponse. Une fois terminée, elle mit son manteau, avec son portable, et sa lettre à l’intérieur.
-J’y vais, maman !
-Dépêche-toi de rentrer ! Il fait presque nuit !
-Mais oui, ne t’inquiète pas ! Le cimetière est à deux pas !
-Tu as pris ton portable ?
-Oui !
Et elle se mit en route pour le cimetière, malgré la nuit qui tombait. Mais elle avait l’habitude, c’était devenu une sorte de rituel. Elle était très confiante !
Peut-être était-ce là son erreur. Erreur qui changea sa vie.

Admin Messages : 454 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Marchombre.

Comme toujours j'adore :[img]http://ex

Technicien du forum Messages : 129 Date d'inscription : 11/03/2010

Fantastique! Je veux la suite I love you

Alors, voila la sui-suite!!
Qu'en pensez-vous?

chapitre 2

-Bon, qu’est ce qu’on fait maintenant ? Je te préviens, moi je ne veux pas dormir à la belle étoile ce soir !
-Mais non, ne t’inquiète pas. C’est ce soir qu’on passe à l’action.
-Ouais ! Enfin ! Je me demande si elle est jolie de près…
-Vous êtes tous comme ça, en Amérique ?
-Hé ! Dit donc ! Je te demande si tous les Anglais sont comme toi, moi ?
-Chut ! La voilà !
Les deux hommes cessèrent de parler, et regardèrent la jeune fille passer. L’un était grand, et plutôt costaud. Ses cheveux blonds en bataille, faisaient ressortirent un coté voyou. L’autre était plus jeune. Un visage fin, caché par des cheveux noirs de jais, mi-longs, mais assez bien coiffés. Sa carrure n’était pas celle d’un grand sportif, contrairement à son compagnon ; mais il avait la corpulence d’un enfant d’environ 16 ans. Il était plus calme, et plus posé. Il avait l’air de réfléchir avant de faire quoi que ce soit. Alors que le colosse à ses cotés, était plutôt du genre à foncer tête baissée, de manière irréfléchie et inconsciente. Une fois que la fillette fut passer, le colosse demanda :
-Pourquoi on ne l’a pas fait maintenant ?
-Attendons qu’elle ait déposée sa lettre, il ne faut pas la brusquer ou lui faire peur. Il se tourna vers son collègue. Compris ?
-Mais oui, tu sais, la délicatesse, ça me connaît !
L’autre poussa un soupir d’agacement, avant de reprendre à voix basse :
-Elle revient. Baisse toi !
Mais lorsqu’il voulu appuyer sur la tête de son compagnon pour le cacher, il ne sentit que du vent.
… Mais où est-il passé encore ?
A peine avait-il relevé la tête, qu’il entendit un cri aigu. Il vit alors son compagnon, faire face à Noémie. Il sortit de sa cachette et se plaça à coté du colosse, les mains sur les hanches, le visage sévère.

*****

La jeune fille pétrifiée ne pouvait plus parler.
C’est quoi ces gars là ? Qu-est ce qu’il me veulent ? Dois-je fuir ? Oui ! Mais…
Elle regarda ses jambes tremblantes.
Je ne peux pas bouger, mais jambes ne m’obéissent pas ! Et même si je cris, personne ne m’entendra à cette heure ci. Bouge Noémie ! Bouge !
En se parlant à elle même pour se donner du courage, elle prit ses jambes à son cou, et courra le plus vite possible sans savoir dans quelle direction aller.
-Merde ! Elle s’échappe !
Les deux hommes partirent à sa poursuite…
Quelques minutes plus tard, Noémie se rendit compte qu’elle s’était elle-même entraînée dans une impasse. Elle se retourna et avança pour en ressortir, mais elle n’en eût pas le temps. Les deux hommes se trouvaient déjà devant elle.
Ah ! Bravo Noémie ! se dit-elle. Tu as réussi à te mettre, toute seule, dans une mauvaise position !
Elle commença à reculer, jusqu’à ce que son dos touche le mur et qu’elle ne puisse aller plus loin. Elle était bloquée. Les deux individus parlèrent entre eux sous l’écoute de Noémie :
-Et qu’est ce qu’on fait maintenant, Luka ?
-C’est toi qui as foncé sans réfléchir ! Donc tu te débrouilles !
-T’es pas sympa ! Mais bon… Puisque j’ai carte blanche…
Il remonta ses manches tout en avançant vers la jeune fille, et continua :
-On a cas l’emmener de force !
Il rapprocha ses mains de Noémie, qui s’était accroupie, dans l’angle du mur. Par réflexe, elle ferma les yeux ; mais les rouvrit lorsqu’elle entendit l’autre crier :
-Steve ! Arrête ! Laisse la !
-Hein ? Mais…
-Mais enfin, tu vois bien que tu lui fais peur. Espèce de brute ! On ne dois pas la forcer. Il faut qu’elle vienne de son plein gré, sinon ça ne marchera jamais !
-D’accord, mais comment veux-tu que l’on fasse ?
-Je ne sais pas, mais il ne faut pas la brusquer.
Alors, si j’ai bien compris… Le grand s’appelle Steve, et l’autre, Luka. Mais… qui ils sont…
C’est sur cette pensée qu’elle s’arrêta, et s’écroula complètement.
-Mince, elle a perdu conscience.
-Tant mieux, ce sera plus facile pour la transporter.
Steve la prit dans ses bras, et regarda Luka :
-Alors, tu viens ?
-Ah, oui, j’arrive !

Technicien du forum Messages : 129 Date d'inscription : 11/03/2010

Tout simplement merveilleux I love you

Ha ha, merci beaucoup Gabriel!! Ca me fait extremement plaisir!!
Veux-tu la suite maintenant?

Admin Messages : 454 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Marchombre.

D'y donc Gabriel qui fait des compliment ?!

OK, alors avec Gabriel qui me fait des compliments, je met la suite! (c'est tellement rare! =}) J'ai encore du rab! J'en suis à peut près au chapitre 8!

chapitre 3

La maison de Noémie était plongée dans l’angoisse.
-Mais où est-elle passée ? Elle est partie depuis un bon moment déjà ! Tu crois qu’il lui est arrivé quelque chose ? demanda sa mère.
Son père essaya de la rassurer, en vain.
-Ne t’inquiète pas. Elle s’est peut-être juste perdue. On va la retrouver.
Le père de Noémie enlaçait sa mère fortement, pendant que Thomas portait Manon, endormie.
-Appelons la police !
-Chérie… Attendons encore un peu. D’accord ? Si dans une demi heure, elle n’est pas rentrée, alors oui, nous les appellerons.
Malgré ses consolations, le père de Noémie ne parvenait toujours pas à calmer sa femme, en pleurs.

*****

L’air avait changé. Le bruit avait changé. L’humidité avait changé. L’odeur avait changé. Ainsi que toutes sensations.
J’ai les yeux lourds… J’ai du mal à les ouvrir… Alors c’était un rêve ?
Noémie ouvrit doucement les yeux ; elle se les frotta, et essaya de mettre pied à terre, comme pour se lever du lit. Seulement, ses pieds n’atteignirent pas le sol.
Tiens ? Le sol est si bas ?
Elle ouvrit complètement les yeux, et la première chose qu’elle vit, fut le visage du colosse répondant au nom de Steve. Elle poussa un cri de frayeur, et commença à se débattre. L’homme la laissait faire sans riposter. Noémie continuait à bouger dans tout les sens en lançant des « lâchez-moi ! » ou « posez-moi ! ».
-Hé ho ! Tu vas arrêter de gesticuler ou quoi ? dit l’homme énervé.
Noémie le poussa sous le menton, comme lorsqu’on empêche quelqu’un de l’embrasser.
-Elle m’énerve cette fille !
Il la lâcha, et elle put enfin toucher le sol.
Aller ! C’est le moment de s’enfuire ! se dit-elle.
Mais à peine s’était-elle relevée, qu’elle sentit une pression sur son poignée, l’empêchant d’aller plus loin. Steve l’avait attrapé juste avant qu’elle s’en aille.
-Où crois-tu aller comme ça, hein ? Tu n’imagines même pas la galère que ça à été pour t’emmener jusque dans ce trou perdu !
Ce trou perdu ? Mais là où j’habite, on est en plein centre ville !
Elle regarda autour d’elle, et s’aperçut qu’elle n’était plus au même endroit qu’au préalable. Ils était sur une sorte de colline, à l’écart de la ville en contre-bas. Il faisait nuit, et les lumières d’en bas étaient bien plus jolies que celles de sa petite ville. Elle vit un panneau, indiquant le nom de l’endroit où ils se trouvaient, sur ce panneau était inscrit le mot : « Marseille ».
Noémie habitait sur le littoral de la mer méditerranée. Certes non loin de Marseille, mais il fallait tout de même comptait trois heures de route. Or elle n’avait pas sentit qu’elle avait perdu connaissance aussi longtemps. Elle fut un moment étonnée, mais oublia vite ce détail.
L’homme la tenait toujours fermement, et la tira vers lui. Noémie donna des coups impuissants sur le coriace buste de Steve. Elle parvint à se dégager, mais lorsqu’elle voulut partir, sa tête heurta quelque chose. Elle tomba brusquement à terre. Une main sur le front, elle leva les yeux pour voir ce qui l’avait gêné dans sa course. Tout d’abord, elle n’en crut pas ses yeux, et se les frotta pour être sûre de bien voir. Derrière elle, les deux hommes n’avaient pas l’air surpris. Steve présenta sa main à Luka, et lui dit tout bas, avec une pointe de moquerie :
-Dix dollars qu’elle va tomber dans les pommes !
Luka le regarda.
Elle tombera pas dans les pommes… Se dit-il.
Il répondit en lui tapant dans la main :
-Pari tenu !

Technicien du forum Messages : 129 Date d'inscription : 11/03/2010

J'adore

C'est toi qui a écrit ça? Surprised

Admin Messages : 318 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Hogwarts

Je n'ai eu le temps de lire que le premier chapitre mais ... WOW !
Vraiment j'adore ta plume ; D

Admin Messages : 454 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Marchombre.

Lola écrit trop bien ;D
Je dois y aller

Hi hi, merci de tout vos compliments! Là, je rougis!!
Très bien, alors voici le chapitre 4! Et pour répondre à ta question Gaby, oui, tout est by me. =}

Chapitre 4

C’est quoi cette chose ?
La chose dont pensait Noémie, se trouvait en face d’elle. Ce n’était sûrement pas humain. La lumière de la lune lui donnait une couleur argentée. Elle n’avait pas de jambes, flottait dans les airs, évitant l’apesanteur. Une sorte de gros triangle. Oui, c’est ça, un triangle ! Arrondis sur les cotés, Noémie s’était cognée sur sa base. Peut-être cette chose mesurait-elle un mètre vingt ; mais en flottant, elle paraissait beaucoup plus grande. Cette chose hybride n’avait certes pas de jambes, mais de petits bras fins pendaient sur les cotés. Des symboles étranges étaient gravés sur ce triangle. Des cercles, des traits droits, des symboles très bizarres, et sur lesquels Noémie ne pensait pas à s’interroger. Le triangle se pencha légèrement en avant, et ses yeux clos s’ouvrirent brusquement, ce qui eut pour effet de faire crier la jeune fille à terre.
Il lui présenta sa main ; elle faisait à peu près la même taille que la sienne.
-Désolé de t’avoir fait peur. Dit-il d’une voix grave. Tu ne t’ai pas fait trop mal ?
-Quoi ? Mais ça parle en plus ? Pensa t-elle à haute voix.
Le drôle de triangle esquissa un sourire amusé avant de répondre :
-Oui, je suis assez bizarre, mais tu ne dois pas avoir peur de moi. Je m’appelle Sankakkei. Ravi de te connaître Noémie !
Devant ce sourire si chaleureux, elle n’eut plus peur, et prit la main de Sankakkei pour l’aider à se relever.
-Merci. Fit-elle timidement.[/g]
[c=#aaaaaa][g]Elle se tapota son pantalon pour le nettoyer, et leva la tête tout en reculant pour admirer la chose qu’elle avait devant ces yeux. Elle s’arrêta lorsque son pied heurta celui de Luka. Elle le regarda et demanda d’une voix sobre :
-Vous êtes quoi ? Vous êtes qui ?
Aucun ne répondit…
Luka se résolu à parler le premier, il la prit par les épaules et lui dit gentiment :
-Viens, on va tout t’expliquer.
Sankakkei s’avança et leva ses bras frêles, comme pour une incantation. Il ferma les yeux et le sol se mit à trembler. Noémie n’y croyait pas, elle se raidit, les bras le long du corps, et se parla à elle même :
-Ca y est, maintenant j’en suis sûre… Tout ça n’est qu’un rêve. Oui c’est ça, un rêve ! Et je vais me réveiller très vite ! Aller ! Réveille-toi !
Elle se pinça le bras, mais cela n’y fit rien. Elle ne rêver pas et tout ce qui était en train de se dérouler était réel. Des fissures apparurent dans le sol, et quelque chose monta petit à petit. Une fois la secousse terminée, Steve s’approcha de Noémie :
-Alors ? Impressionnant, non ?
Elle se mit sur la pointe des pieds pour être à la même taille que lui, respira un bon coup, et se mit à crier violemment :
-« Impressionnant »? « Impressionnant » tu dis ? Non mais tu te fiches de moi ? Vous venez jusque chez moi, vous me kidnappez, vous m’emmenez à Marseille, vous me présentez un truc triangulaire d’un mètre vingt, et pour couronner le tout, il fait apparaître une véritable maison en plein milieu d’une colline à partir de rien, et tu trouves ça impressionnant ? Mais c’est du délire, oui ! Moi je ne reste pas une minute de plus avec vous en tout cas, c’est certain !
Elle tourna les talons et avança jusqu'à ce qu’elle fut retenue de nouveaux par le poignet. Mais cette fois-ci, ce n’était pas Steve qui la retenait, Luka.
-Ecoute au moins ce que nous avons à te dire s’il te plait. Après tu seras libre de partir si tu veux. Nous te ramènerons même chez toi. Mais avant cela, écoute notre histoire.
Elle soupira et accepta l’invitation. Ils entrèrent dans cette petite maison faite d’une grande pièce centrale, composée de deux lits. Noémie s’assit sur l’un d’eux, et Luka et Steve s’assiérent chacun à coté d’elle. Encadrée par ces deux garçons, elle n’osée plus bouger. Sankakkei s’assit sur le lit d’en face et entama la conversation :
-Noémie, si tu ne veux pas croire ce que je vais te raconter, c’est ton choix, et je le respecterai. Mais si me crois et que tu acceptes, il ne faut pas que tu aies de regrets après. Une fois que tu te seras décidé, cette décision seras irréversible !
Des mots aussi sérieux et inquiétants n’allaient pas avec la drôle d’image que donnait ce triangle aux premiers abords, mais Noémie n’en tenait pas compte, et elle passa outre.
-Et ne prend pas ça à la légère, moi il m’a fallu une semaine pour me décider. Enrichit Steve.
-Euh… D’a… D’accord. Alors allez-y, je vous écoute. Dit-elle d’un ton hésitant.
C’est quoi cette histoire encore ? Qu’est ce qu’il va me demander ce machin bizarre ?
-Bien, par où commencer… continua Snkakkei. Déjà, saches que tu n’es pas là par hasard. Tu n’as pas été prise au hasard, ça en a été décidé ainsi.
-Hou là ! Attendez. Vous n’allez pas me sortir que je suis « l’ élue » ou un truc dans le genre, quand même ?
-Ben… Si en fait.
-Mais c’est pas possible ! Ca c’est que dans les histoires ! On rêve toujours que ça nous arrive, mais c’est pas possible, ça ne peut pas nous arriver !
-Eh bien… la preuve que si.

Sorry pour le double-post, mais en faisat un edit, le message de prévenu ne sera pas envoyé. -_-'
C'est juste pour vous dire que je ne peux pas mettre la suite de mon histoire sans commentaires, je ne paux pas faire de doubles post.
(Exception, pliz!)
Donc voila, c'est tout!

Admin Messages : 454 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Marchombre.

Tu peux mettre la suite si tu veux je t'excuse Smile

Non, je vais attendre d'avoir un peu plus de commentaires, même si c'est long.
Je trouve ça inutile de mettre une histoire si personne ne la lis! =}

Admin Messages : 454 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Marchombre.

Pas de problème Wink

Moi je l'ai lu j'attends de voir les chap. que je n'ai pas encore vu :d

Bien, voila quelques temps que je n'avais pas mis la suite! J'ai du rab jusqu'au chapitre 8! Le chapitre 9 est en cours!! Bonne lecture à tous!!

Chapitre 5

Il ferma les yeux, et après un silence se décida enfin à parler :
-Lui, à ta droite, c’est Steve, il vient d’Amérique, et à ta gauche, Luka qui vient du Royaume-Uni.
-Quoi ? Mais alors ils parlent couramment français ?
-Français ? Non, nous on parle pas français ! C’est toi qui parle super bien l’anglais ! Intervint Steve.
-Mais non ! J’ai des bases en anglais, mais sans plus.
Steve et Luka s’échangèrent un regard interrogatif. Ils avaient l’air aussi perdu que la pauvre Noémie. Sankakkei se mit enfin à tout expliquer :
-En fait, vous parler tous votre langue. Noémie, Luka, Steve, écoutez bien ce qui va suivre.
-Ah ! Il va enfin nous expliquer ! s’exclama le colosse.
-Quoi ? Vous ne saviez rien, alors ?
-Non, Sankakkei nous a emmené avec lui, et il nous a dit qu’il nous dirait tout une fois arrivés en France. Mais sinon nous ne savons rien de plus que toi. Annonça Luka.
-Bien, alors écoutez moi tout les trois… Vous êtes ceux que l’on appelle « Particuliers ». Vous êtes différents des autres.
Noémie voulu intervenir avec une question, mais Sankakkei l’en empêcha d’un geste de la main :
-Vous n’êtes pas différents dans votre physique, mais dans votre cœur, votre âme et votre esprit. Chacun de vous représente un pays. N’allez pas croire que chaque pays est représenté, car ce n’est pas le cas. Vous n’êtes pas la première génération, pour moi vous êtes la troisième.
-La troisième ? S’enquit Noémie. Mais Tu as quel âge ?
-150 ans. Mais là n’est pas la question. Ce que je vais vous dire est très important pour la suite. Il ne faut pas que vous ayez de regrets, c’est compris ?
-Oui, on t’écoute. Répondit Luka.
-Les Particuliers existent depuis la nuit des temps, ils ont toujours été présents. Certaines générations ont réalisé de plus grandes choses que d’autres, mais chacune avait de l’importance. Il y a de cela trois générations, les Ténèbres ont failli envahir la Terre. Les Particuliers ont réussi à les éliminer, mais au prix de leurs vies. Dolorès était une française. Elle et Mac, qui était américain, s’aimaient profondément. Mais ce fut de cet amour que tout bascula. Mac mourut dans la bataille pour protéger sa bien-aimée, mais Dolorès ne s’en remit pas, et s’accablait de reproches. Cependant, elle continua d’avancer avec les autres personnes qui restaient. Une fois les Ténèbres vaincus, Dolorès ne retrouva jamais la joie et la bonne humeur. Après sont dur combat, elle passa du coté du mal, en toute connaissance de cause. Son cœur souffre éperdument. C’est alors qu’une nouvelle génération arriva. A nouveau, le français voulu détruite son prédécesseur, mais n’y parvint pas. Tous ses compagnons tombèrent un à un, et décida de ne plus combattre. Après cette génération, Dolorès resta très affaiblie, et aujourd’hui encore elle est faible, à vrai dire, ce serait le moment idéal pour passer à l’attaque, mais nous ne sommes pas assez.
-…
-Qu’y a t-il Noémie ? Demanda Luka.
-Euh, non, rien… C’est juste que mon grand-père me parlait souvent d’une certaine Dolorès, ça m’intrigue.
-Quel était le nom de ton grand-père ? S’informa Sankakkei.
-Il s’appelait Frédéric, mais tout le monde l’appelait Fred.
-C’est pas vrai !? Fred ?!
-Oui, pourquoi ?
-Noémie, j’ai l’honneur et le privilège de t’annoncer que tu es la descendante directe d’un Particulier !
-Quoi ?
-Eh bien, c’est pourtant clair, ton grand-père, je l’ai connu. Fred était le Particulier de la France. Il avait un point faible pour Xia, la chinoise qui avait 20 ans à cette époque, et Fred en avait 24. Mais lorsqu’il lui avoua qu’il l’aimait, c’était trop tard pour sauver Xia. Cependant, il voulut continuer à vivre, pour lui ; et pour elle. Et c’est grâce à cette volonté que tu es là aujourd’hui. Maintenant, je te le demande : veux-tu suivre les traces de ton grand-père et nous rejoindre en tant que Particulier ?
Un silence pesant se fit dans la salle, personne n’osait bouger au risque de faire un quelconque bruit, et troubler l’ambiance qui régnait dans la pièce. Mais tout le monde regardait Noémie, impatient de connaître sa réponse. Cette réponse était certainement la plus importante de toutes, car elle allait sceller son destin. Tête baissée, elle restait immobile, les yeux fermés, cachés par ses cheveux, elle réfléchissait. Ce qu’elle pensait à ce moment là, personne ne le saura jamais, mais après une longue attente, elle releva la tête. Le visage sérieux, les sourcils froncés, les yeux débordants de détermination, sa réponse était inéluctable. Jamais son visage n’avait pris cette expression, et ce fut de cette façon qu’elle répondit d’un ton assuré :
-Oui !
-En es-tu sûre ? N’auras-tu aucun regrets ? Insista Sankakkei.
-Non, aucun.
-Bien, alors, tu es prête à partir avec nous, au risque d’y laisser la vie ?
-Oui.
-Comme je te l’ai déjà dit, il ne faut pas que tu prennes ça à la légère. Ce n’est pas un livre, une histoire, un rêve ou un jeu. C’est réel. Dans notre monde, quand on meurt, c’est la fin de tout et pour toujours.
-Je sais. J’en suis consciente, et j’accepte en toute connaissance de cause.
-Bien, alors demain, nous nous mettrons en route pour annoncer à tes parents ta décision.
-D’accord.
-Alors, allons nous coucher, demain sera une dure journée ! Plaisanta Steve, comme un enfant.

Admin Messages : 454 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Marchombre.

J'adore comme tu écris Lola !
Vite la suite ! ^^

Veux-tu la suite maintenant? Je te le demande, parce-que comme tu es la seule à lire cette histoire, je me met sur ton temps de lecture! =}

Admin Messages : 454 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Marchombre.

Non j'attends un peu pour le suspens Razz

Edit : Tu pourrais poster la suite ?

Alors, voici la suite de l'histoir! Je sais bien que personne ne la lis, et qu'on ne verra pas de différence si je ne la mets pas, mais je le fais pour mon propre plaisir! =D
Sachant que je suis en train de commencer le chapitre 10, j'ai encore un peu de marge sur ce forum! =}

Chapitre 6

Seulement, un problème se posait. Dans cette petite pièce fermée, éclairée par le clair de lune par le biais d’une petite fenêtre, seul deux lits étaient présents. Or, ils étaient trois. Steve prit les devants :
-Moi je veux bien partager mon lit avec Noémie.
-Et moi je propose que, comme c’est la seule fille, on la laisse dormir seule.
-Quoi ? Mais moi je veux pas dormir avec toi !
-Arrête de faire l’enfant et va te coucher. On aura cas prendre le lit le plus grand !
-Non ! ……‘Préfère dormir par terre. Ajouta t-il d’une moue boudeuse.
Noémie les regardait d’un air amusé. Elle en profita pour entrer dans la conversation :
-Et vous avez tenu combien de temps ensemble ?
-A peu près quatre mois je dirais. Précisa Luka.
-Et ben dit donc …
Steve s’était assis par terre, un coussin juste à coté, prêt à s’endormir au sol comme il l’avait dit.
Après bien de persuasions, Steve s’allongea sur le lit, cependant très éloigné de Luka. Noémie en riait encore doucement.
Cette nuit là, le rêve de Noémie fut bien étrange. D’abord seule dans le noir, ne sachant pas sur quoi et vers quoi elle marchait, elle avançait . Puis, après une dizaine de pas, elle s’arrêta, du bruit résonnait dans cet endroit bien étrange, puis des pas, des murmurent, plus elle attendait, plus les discussions devenaient claires. Comme si elle était dans la rue, elle entendait des gens rire, parler, des enfants pleurer, la route faire son bruit habituel… Mais, parmi cette foule condensée, une personne sur le trottoir d’en face restait là, immobile, les yeux fixés sur elle. Tout paraissait si net. Le feu des piétons passait au vert, tous les gens traversèrent, mais pas lui, pas cet homme, qui restait toujours dans sa position, telle une statue que personne ne remarquait. Il ouvrit la bouche et bougea les lèvres, comme s’il parlait, à ce moment là, le silence s’était brusquement imposé ; mais malgré ce grand silence, Noémie ne parvenait pas à discerner ce que l’homme lui disait. Cependant, au bout d’un certain temps, tout s’imprima dans sa tête. L’homme lui avait parlé, et elle n’avait pas compris ce qu’il lui racontait, ce ne fut qu’a la fin de cette discussion muette qu’elle compris de quoi il voulait lui faire part. Il lui avait raconté que le moment était enfin venu, qu’elle pouvait enfin faire ses preuves.
-C’est quoi encore ce vieux schnock ? Ajouta-t-elle tout bas.
Elle ne pouvait pas voir le visage de son interlocuteur, elle savait juste que c’était un vieil homme. Puis, le visage de l’homme d’en face commençait à se révéler. Elle put enfin voir à qui elle s’adressait, mais après cette découverte, elle mit ses mains sur ses lèvres et regretta amèrement ses paroles. Il ne lui fut pas longtemps pour reconnaître son grand-père. Elle ferma les yeux, de peur de se faire gronder, et quand elle les rouvrit, à sa plus grande surprise, l’homme souriait, riait même. Ce qui eut pour effet de faire sourire Noémie à son tour. Elle était heureuse. C’est alors qu’une grande lumière blanche l’éblouit, cette lueur avala toute les personne autour d’elle, et son grand-père disparu peu à peu.
Noémie se réveilla en sursaut, elle était triste d’avoir perdu définitivement son grand-père, triste de s’être réveillée. Elle avait peur aussi, peur de ne plus refaire ce rêve si agréable. Mais elle était heureuse de l’avoir vu une dernière fois. Elle regarda aux alentours, et remarqua qu’elle était la seule à ne plus dormir. Cependant, perçu du coin de l’œil, la paupière à demie-ouverte de Luka. Feignant de n’avoir rien vu, elle détourna le regard et contempla l’horizon par la petite fenêtre au dessus de son lit. Le soleil levant était si magnifique et si réchauffant qu’elle dû lever le bras pour faire de l’ombre à ses yeux.
-Je me demande quelle heure il est… Dit-elle tout bas.
Mais, étonnée, elle reçu une réponse.
-Huit heures et demie.
Elle tourna la tête, afin de voir qui parlait. Cela ne faisait que quelques heures qu’elle était avec ses nouveaux compagnons, donc elle ne reconnaissait pas les voix, mais elle devina que c’était Luka car c’était le seul à être réveillé.
-Comment le sais-tu ?
Il ne répondit pas cette fois-ci. A la place, il lui montra un objet qu’il tenait à la main, mais, ne pouvant pas le voir, elle plissa les yeux.
-Je ne vois pas bien d’ici.
Il rigola et lui lança l’objet qui traversa la pièce pour atterrir dans les mains de Noémie. C’était une montre, mais assez étrange, elle donnait deux heures différentes.
-Pourquoi affiche-t-elle 7h30 et 8h30 ?
-L’heure de gauche, c’est l’heure en Angleterre, et à droite, l’heure du pays dans lequel nous sommes.
-Génial ! Admira-t-elle.
-Je suis content…
-Hein ? Pourquoi ?
-Tu as retrouvé le sourire. Dit-il d’un ton bienveillant. En te réveillant, tu avais l’air triste et apeurée. Mais je ne pensais vraiment pas qu’en engageant une conversation sur une montre, tu pourrais facilement retrouver le sourire. Tu es une fille assez facile en fait !
Ce n’était pas méchant lorsqu’il ajouta cette phrase, et Noémie le savait. Elle joua le jeu en gonflant les joues. Luka éclata de rire, ce qui réveilla Steve. Noémie rougit en baissant la tête avant de répondre tout simplement :
-Merci.
Steve émergea de son sommeil pendant que Luka et Noémie commençaient à se préparer à repartir. La jeune fille se sentait agréablement bien ce matin, elle rigolait aux éclats lorsque les deux garçons se chamaillaient encore pour le lit, elle avait l’impression de les avoir toujours connu, ce qui renforça sa décision de rester avec eux.

Admin Messages : 454 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Marchombre.

J'adore tout simplement j'adore !
Je trouve qu'il y a quand même un air de manga ... ! ^^

Admin Messages : 318 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Hogwarts

Enfin, j'ai pu lire !!
Margot a raison, c'est superbe ! Tu vois que tu as un talent pour l'écriture !!

La suite maintenant ou plus tard?
Ca me fait plaisir de savoir que vous aimez! =D Extremement plaisir!!
Merci!!

Admin Messages : 454 Date d'inscription : 09/03/2010 Localisation : Marchombre.

Attends un peu voir si les autres inscrits la lise Wink